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MENTIONS LEGALES

Compagnie Française d'Hôtellerie

 

46 AVENUE FRANKLIN ROOSEVELT, 77210 AVON 

SAS au capital social de 402 880€

RCS Melun : 425 112 851

 

SIRET : 42511285100034

Siège social : 46 avenue Franklin Roosevelt 77210 Avon

 

Directeur Rédaction : Chloé SALMON

Responsable Publication : Chloé SALMON

 

Hébergeur : Wix

https://fr.wix.com/

Crédit Vidéo : Institut National de la Consommation et le CNETH / Adobe Stock 

Crédit Photo : Photothèque Accorhotels / Office du Tourisme Aix les Bains / Asdobe Stock

Propriété intellectuelle :

L’ensemble des contenus présents sur le site HOTEL CFH (textes, images, graphismes, logos, vidéos, icônes, etc.) sont la propriété exclusive de la société CFH - Compagnie Française d'Hôtellerie, sauf mentions contraires.
Toute reproduction, représentation, modification, publication, adaptation de tout ou partie des éléments du site, quel que soit le moyen ou le procédé utilisé, est interdite, sauf autorisation écrite préalable de la société CFH.
Toute exploitation non autorisée du site ou de l’un des éléments qu’il contient sera considérée comme constitutive d’une contrefaçon et poursuivie conformément aux dispositions des articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Limitation de responsabilité :

La société CFH - Compagnie Française d'Hôtellerie s’efforce de fournir des informations précises et à jour sur son site internet. Toutefois, elle ne peut garantir l’exactitude, la complétude ou l’actualité des informations présentes.
L’utilisation des informations et contenus disponibles sur le site se fait sous la seule responsabilité de l’utilisateur. CFH ne pourra être tenue responsable des dommages directs ou indirects résultant de l’utilisation du site ou de l’impossibilité d’y accéder.

Données personnelles et cookies :

Le site CFH peut collecter des données personnelles via des formulaires ou des cookies.

  • Responsable du traitement : CFH - Compagnie Française d'Hôtellerie

  • Finalité du traitement : inscription à la newsletter

  • Droit des utilisateurs : Conformément au Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) et à la loi Informatique et Libertés, vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, de suppression et d’opposition aux données vous concernant. Vous pouvez exercer ces droits en envoyant un e-mail à c.salmon@hotelscfh.fr

Lanceur d'alerte : 

Chez CFH, notre engagement d’intégrité nous conduit à respecter rigoureusement le devoir d’honnêteté dans l’exercice de notre activité professionnelle. Cette exigence appelle l’exemplarité, en particulier du management, ainsi que celle que l’on se donne à soi-même dans l’exécution de sa mission. CFH vous encourage, si vous observez dans votre environnement professionnel des comportements non éthiques ou contraires à nos politiques et procédures, à faire part de vos préoccupations à votre manager ou à lui demander de l’aide ou un conseil. Si vous n’êtes pas en position de le faire ou si vous pensez qu’il est inapproprié de vous adresser à votre ligne managériale, vous pouvez demander conseil à la direction générale. CFH met à votre disposition un dispositif d’alerte interne décrit ci-après sous forme de questions/réponses.

Pourquoi devrais-je lancer une alerte ?
Le dispositif d’alerte fait partie de la démarche Ethique, Compliance et RSE de CFH : en lançant une alerte, vous aidez l’entreprise à détecter des dysfonctionnements et à favoriser leur remédiation. En permettant à CFH d’opérer conformément à nos politiques et procédures internes, aux lois et aux règlements, vous contribuez à la pérennité de notre activité en réduisant notamment les risques de réputation et de perte financière. L’utilisation du dispositif d’alerte interne est cependant facultative et aucun employé ne pourra faire l’objet de sanctions disciplinaires pour ne pas l’avoir utilisé.

Qu’est-ce qu’une alerte ?
Une alerte consiste à faire part via le dispositif d’alerte interne, de manière désintéressée et de bonne foi, de conduites ou de situations dont vous avez eu personnellement connaissance et qui :
- sont contraires à notre politique anti-corruption, à notre charte de déontologie, ou à nos politiques et procédures relatives à la
comptabilité, au contrôle interne, à l’audit,
- ou sont en violation grave et manifeste des lois ou règlements,
- ou qui portent une atteinte grave aux droits humains et libertés fondamentales, à la santé et la sécurité des personnes ou à l’environnement.


Les faits couverts par le secret de la défense nationale, le secret médical ou le secret des relations entre un avocat et son client sont exclus de ce dispositif d’alerte. De même, ce dispositif d’alerte interne n’est pas destiné aux questions de routine liées aux ressources humaines telles que des requêtes concernant la rémunération qui sont à adresser aux équipes de management , ni destiné aux réclamations clients qui sont à adresser aux responsables de service.

Qu’est-ce qu’un lanceur d’alerte ?
Un lanceur d’alerte est un employé ou un collaborateur extérieur ou occasionnel qui signale, de manière désintéressée et de bonne foi, une conduite ou une situation contraires aux éléments identifiés aux paragraphes précédents et dont il a eu personnellement connaissance, en ayant recours au dispositif d’alerte interne.

Quelle protection pour le lanceur d’alerte ?
CFH s’engage à ce qu’aucun employé ne soit sanctionné, licencié ou ne fasse l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, pour avoir lancé, de manière désintéressée et de bonne foi, une alerte sur des faits dont il a eu personnellement connaissance.
CFH s’engage également à ce que les procédures mises en œuvre pour recueillir les signalements garantissent une stricte confidentialité de l’identité de l’auteur du signalement et des informations recueillies dans le dispositif d’alerte, en conformité avec les lois et règlements applicables. L’utilisation de bonne foi du dispositif, même si les faits s’avèrent par la suite inexacts ou ne donnent lieu à aucune suite, n’exposera pas son auteur à un risque de sanction disciplinaire. A l’inverse, l’utilisation abusive du dispositif peut exposer l’auteur à des sanctions disciplinaires ainsi qu’à des poursuites judiciaires.

 

Qui est garant de ma protection en tant que lanceur d’alerte ?
La direction générale est garant de la protection que CFH apporte aux employés et collaborateurs occasionnels qui émettent une alerte via le dispositif d’alerte interne. 

Dois-je décliner mon identité ou puis-je rester anonyme ?
CFH vous encourage à vous identifier au moment du signalement : cela permet de vous protéger, de vous demander en tant que de besoin des informations complémentaires et d’éviter des dérapages vers la dénonciation calomnieuse.
Une alerte anonyme est possible mais elle ne sera jugée recevable que si le signalement permet d’établir de façon certaine la gravité des faits et qu’il fournit des éléments factuels suffisamment détaillés

Comment lancer une alerte ?
Vous faites part de votre signalement en utilisant le dispositif d’alerte en envoyant un mail à c.salmon@hotelscfh.fr

Que se passe-t-il une fois que j’ai soumis une alerte :

Votre alerte sera suivie par la direction générale. La personne en charge du suivi de l’alerte procédera à une évaluation préliminaire afin de s’assurer de sa recevabilité. Celle-ci consistera notamment à répondre aux questions suivantes :
■ l’alerte entre-t-elle bien dans le champ du dispositif ?
■ le contenu de l’alerte s’appuie-t-il sur des informations objectives en rapport direct avec le périmètre du dispositif ?
■ les faits, informations ou documents apportés par l’alerte sont-ils de nature à étayer le signalement ?
■ lorsque l’auteur de l’alerte est anonyme, la gravité des faits est-elle établie et les éléments factuels suffisamment détaillés ?
Si l’alerte est déclarée recevable, elle fera l’objet d’une investigation afin d’établir la réalité des faits signalés. L’auteur du signalement sera informé dans un délai de sept jours calendaires, via la boîte mail sécurisée de la plate-forme, de la recevabilité de son alerte et de l’ouverture de l’investigation.

En revanche, s’il apparaît que l’alerte ne répond pas à un ou plusieurs des critères décrits ci-dessus, l’alerte sera déclarée irrecevable par le responsable du suivi. Ce dernier en fera part à l’auteur du signalement et lui proposera, le cas échéant, d’utiliser un autre canal plus approprié : par exemple un dispositif d’écoute client en cas de réclamation commerciale, la ligne managériale ou les ressources humaines en cas de requête liée à la rémunération, etc…
De même, si la pertinence des informations apportée apparaît insuffisante, le responsable du suivi demandera à l’auteur du signalement des éléments complémentaires en l’absence desquels l’alerte pourra être classée sans suite et l’auteur informé de sa non recevabilité.
Enfin, un signalement dont il serait manifeste qu’il ne présente aucun caractère sérieux ou qu’il est basé sur des faits invérifiables sera classé sans suite et son auteur sera informé de sa non recevabilité. L’investigation sera menée de manière rigoureuse et professionnelle dans le respect des lois et règlements.

La ou les personnes visées par une alerte déclarée recevable seront informées de l’existence de l’alerte, dans le strict respect de la confidentialité de l’identité du lanceur d’alerte. Tout sera fait afin d’éviter dans toute la mesure du possible un préjudice aux personnes qui feraient, à tort ou de manière calomnieuse, l’objet d’un signalement.

Que se passe-t-il après la fin de l’investigation ?
Après la fin de l’investigation, un rapport de conclusion est remis aux personnes ayant à en connaître. En fonction des conclusions du rapport et de la gravité des faits établis, un complément d’investigation pourra être demandé, des mesures disciplinaires proportionnées pourront être prises dans le respect du règlement intérieur et des procédures associées. Le cas échéant, les autorités judiciaires seront saisies du dossier. De plus, les nécessaires adaptations de procédures seront proposées afin d’éviter le renouvellement de comportements ou de faits similaires.
L’auteur du signalement sera informé de la conclusion du traitement de l’alerte dans un délai raisonnable suivant la fin de l’investigation et la mise en œuvre des éventuelles mesures, disciplinaires ou autres, qui en ont résulté.

Comment les données relatives à une alerte sont-elles traitées ?
Les données et les informations traitées dans le cadre du dispositif d’alerte ne seront utilisées à des fins autres que celles visées dans la présente procédure. Elles sont également traitées dans la plus stricte confidentialité de l’identité de l’alerteur, de la ou des personnes mises en cause, ainsi que des signalements recueillis. Le traitement de l’alerte est réalisé dans le respect des règles applicables en matière de traitement des données à caractère personnel.

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